Arthas Herbapipe

Ceci est une petite histoire que je publie. Depuis la quatrième je joue a donjons&dragons avec des amis. Depuis toute c'est années je joue avec le meme perso, un roublard halfelin appelé Arthas Herbapipe (oui oui Arthas c'est son nom :p ). Donc d&d est un jeu de role pour ceux qui connaisse pas, bref, j'ai eu l'idée d'écrire son enfance et j'ai deja ecrit plusieurs chapitre.
Voilà le premier, vous me direz ce que vous en pensez^^.




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Arthas Herbapipe



Dans un monde lointain, un plan inconnu, une vaste ville, un petit quartier, une maison…

Eau profonde, métropole de Faerun. La cité des splendeurs, dont le port illuminait la ville de ses feux dansant la nuit tombée. Cette ville qui avait toujours eu de la place pour celui qui avait de l’argent a dépenser. Mais comme toute ville resplendissante, la banlieue et les quartiers chauds étaient omniprésents. Les guildes ne se comptaient même plus et la garde avaitfort a faire avec elles.
Cette nouvelle, ou plutôt ce début d’une réelle épopée commence dans le quartier du port
Un rapide résumé sera suffisant : le théâtre d’une quasi-incessante et tapageuse rixe, couvrant plusieurs acres et parsemé de petites cahutes, de quelques commerces, d’un ou deux chiens errants et de quelques braves chargés d’empêcher le chaos de se répandre hors des quais. Le tout flottant dans une puanteur de poisson en décomposition. Bref, un gros contraste dans la ville fabuleuse que j’ai mentionné.

…autour des quais donc, un maison, une fenêtre brisée, une ombre.
Un halfelin était là, un sac sur le dos. Sans un bruit, celui-ci s’empara d’un boutoir en argent, qu’il rangea de suite. La maison était presque vide à l’instar des autres habitations où un bazar monumentale régnait. Un rictus sembla apparaître sur le visage du petit homme, l’obscurité empêchait de voir son visage, seul sa silhouette svelte était visible. Tel un Félin, l’ombre sorti de la baraque, par la fenêtre. La rue était desserte, un calme anormal reposait dans le quartier.
A toute allure, l’halfelin fila vers l’ouest, se faufilant entre les maisons sales. Toujours silencieux, la pleine lune sortie de derrière les nuages permettait de distinguer les traits du visage du voleur. Un enfant.
Soudain, il trébucha et s’écroula dans un bruit sourd !

_Aie ! C’est bien trop lourd ! Chuchota l’halfelin de sa voie malicieuse et enfantine.

A peine avoir reprit sa course, du mouvement se fit sentir dans la rue voisine. Quand une voie retentit :

_Là-bas ! C’est encore lui !

L’halfelin, ne perdit pas de temps et traversa la rue à grande enjambées. La Garde…encore une fois ! Dans sa course, l’enfant, haletant, transpirait a grosse gouttes. Un moment, il espérer leur échapper, quand un moment d’imprudence lui fit percuter une chose dur et au beaux milieu de la route. Après être tombé, le voleur releva la tête et aperçu un homme, grand et massif. Stonedur ! Le capitaine de la garde des quartiers malfaisants. Il se tenait là, dominant l’enfant de toute sa taille, les bras croisés, un sourire mauvais aux lèvres. Une posture impressionnante. Son visage balafré et ridé s’agita avant de s’embourber, pour le laissait parler :

_Hahaha ! Mossieur le voleur, Arthas Herbapipe…et bien, te voilà…Encore !

Pour la 4ème fois, Arthas fut surpris par cet homme, la main dans le sac. Etait-il si mauvais ?!
Arthas Herbapipe, née à Eauprofonde il y a sept printemps. Les cheveux attachés en arrière, formant une queue de cheval, le visage enfantin et malicieux, des yeux gris perçant comme ceux d’un aigle. Un corps fin et sec, taillé pour le silence et la précision. Fils de roublard et roublarde, natif du quartier des affaires. Bref un halfelin dans toute sa splendeur à sept ans déjà. Ses parents en sont fier, mais ce n’était pas le cas de Stonedur. Arthas ouvrit la bouche pour parler, histoire de clamer sont bourreau.

_Hé ! Euh…bien le bonjour ! Ca…faisait pas longtemps pas vrai ?

_Ah ! En effet, dommage pour toi.

_Hum, tu sais que…

_Que quoi ?!

_…Et bien…Attention ! Cria Arthas en montrant une direction aléatoire au capitaine. Qui regarda vers l’endroit indiqué. Bingo ! pensa Arthas qui ne perdit pas de temps et passa entre les jambes du capitaine pour fuir a toute vitesse dans une rue parallèle.

_ Sale lâche! Cracha Stonedur.

_C’est une technique comme une autres, salut ! Répondit Arthas avant de disparaître entre les baraques en bois, à peine éclairées par la faible lueur nocturne de minuit…



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La suite sera très rapidement disponible, je remercie mon MD Kévin car sans lui, ce personnage n’aurait jamais existé…

Chapitre 2.



Après cette aventure, Arthas rentra donc chez lui, dans le quartier des affaires. Haletant et plein de sueur, il défila à travers les bâtisses avec l’idée d’un bon lit chaud en tête, lui donnant des ailes. Voilà l’histoire d’Arthas Herbapipe à sept ans à peine, mais ce serait mensonge de dire que sa vie se résume à quelques vols et mésaventure avec la garde.
En effet, ce petit être de presque un mètres de haut ne se doute pas que sa vie sera une réelle épopée à travers Faerun, mais ça…ce sera pour plus tard.

Revenons au moment présent, enfin, le passé à l’heure qu’il est :
Trente minutes plus tard, le jeune halfelin aperçu son foyer, une lumière filtrant à travers les volets en bois. Il y avait un petit bosquet sur le mur gauche, la bâtisse était entourée d’une palissade basse et d’un petit portique en fer. Après avoir passé ce dernier, il entra dans la maison sans frapper. Une fois sur le palier, il posa son sac à terre et traversa l’unique salle du rez de chaussé pour s’affaler sur un siège en paille. Une voie émergeant de l’escalier se fit entendre :

_Ah ! Voilà mon bon fils, alors la pèche à était bonne ?
C’était File, son père. Un halfelin qui tenait une échoppe d’argenterie dans le quartier, son stock provenait bien sur des vols de son fils et de lui-même. Une manière efficace de faire un important bénéfice sur ce qui fut gratuit a prendre.

_Bah, juste un boudoir en argent cette fois. Je l’ai trouvé dans le quartier du port, répondit Arthas.
_Hum, je verrai cela plus tard, répondus File, et la Garde ?
_Devine…bougonna son fils.

File éclata de rire sans prévenir, ce qui fit sursauter le jeune halfelin.

_Encore Stonedur ! Le pauvre, à force nous allons devoir déménager.

J’espère pas, le quartier des affaires regorge de gens fortunés, pensa Arthas.
Après quelques paroles et discussions, ils montèrent tout deux se coucher. Arthas s’allongea sur son lit dans sa petite chambre, qu’il partageait avec son frère et sa petite sœur, et s’endormi aussitôt.

Trois ans plus tard, Arthas avait dix ans. Il se leva de son lit et descendit dans le petit salon. Toute la famille était réunie autour de la grande table en bois. Ils saluèrent Arthas. Illidi, sa petite sœur, était assise sur les genoux de sa mère, Aigre. Son grand frère, Tich était aussi présent et enfin File, son père. Le repas du midi avait déjà commencé. Aigre dit à Arthas :

_Tu viens manger avec nous ? J’ai fait du ragoût d’agneau.
_Sa ne va pas ? Je vais prendre mon petit déjeuner oui ! Comment veut-tu que je tienne sur mes jambes sans mon bol, mes céréales et mon lait ! s’exclama Arthas.

Sa mère secoua la tête et laissa son fils manger. En début d’après midi, le petit Herbapipe décida d’aller en ville voir une connaissance. Après s’être habillé, il traversa le quartier et frappa à une porte. Une jeune halfeline lui ouvrit, Violine ! pensa Arthas qui la salua.

_Me voilà, tu es prête ?
_Oui, j’ai tout ce qu’il faut.

Violine avait le même age qu’Arthas. Elle avait des cheveux noirs tombant sur ses épaules et un visage enfantin qui ne laissait pas Arthas indifférent. Ils se connaissaient depuis maintenant quatre ans, faisant d’eux de bons amis.
Ils marchèrent un moment dans les ruelles de la ville, échangeant quelques mots. Un groupe de voyageurs passa a cotés d’eux. Un groupe de cinq humains. Violine regarda Arthas de ses yeux vert et demanda :

_Pourquoi les humains sont-ils aussi grands ? A quoi ça leur sert ?
_Hum, je pense que comme ça, les bourses à leur ceinture sont adaptées à la longueur de nos bras. Voilà tout, répondit Arthas, un large sourire aux lèvres.

Violine pouffa de rire, l’apprenti voleur avait décidément toujours le mot pour rire.
Le binôme arriva sur une petite place. Ils se cachèrent et vêtir les habits que Violine avait apportée. Cela entant faits, il se campèrent devant la place. Arthas était déguisé en ménestrel et Violine en simple citoyen.
Le jeune halfelin se racla la gorge et haussa la voie.

_Bien le bonjour voyageurs et nobles citoyens d’Eauprofonde ! Approchez, que le barde trapu vous conte et chante ses aventures.

Il aperçut Violine se fondre dans la foule, bien, à moi de jouer, pensa Arthas. Il continua :

_Voilà l’histoire du bandit noir !...
Il narra une histoire totalement improvisée mais les gens qui s’étaient tassés autour de lui étaient tous pendus à ses lèvres. Trente minutes durant, des gens s’arrêtèrent pour écouter le ménestrel parler, le moment était venu.

_Et alors le bandit noir salua le noble en le dominant de toute sa taille ! Il se pencha et lui fit un baisemain maladroit. Comme ceci. Permettez ma Dame ?

Arthas prit la main d’une dame, sûrement riche. Le baisemain étant fait, le petit homme retira ses lèvres et passa son bras autour se son visage de manière théâtrale. Il reprit :
_Mais il ne se douta pas un instant que le bandit noir s’était emparé de la bourse du noble, et c’est alors que…
Toutes les personnes présentes avaient les yeux écarquillés, attendant la chute de l’histoire, c’est le moment !
_...le bandit noir surgit de nulle part, prenant le noble au dépourvus ! Juste là !
Arthas montra une direction derrière la foule qui, instantanément, se retourna !
Cela étant, la foule se rendit compte que le bandit noir n’était pas là. Quel bon comédien se ménestrel ! Le ménestrel ? Lui aussi avait disparu !
Dans la rue d’à coté, un petit homme courrait à toute jambes, s’éloignant de la foule…

Le soleil se coucha, laissant un ciel orangé parsemé de petits nuages gris. Les lumières de la ville scintillaient comme des milliers d’étoiles au bord de la mer. La douceur nocturne tomba sur Eauprofonde, ville des splendeurs. Dans une petite maison, une jeune fille et un jeune garçon étaient assis sur un lit, les yeux plongés dans un petit sac en cuir.

_Tu t’es vraiment bien débrouillée, bravo ! félicita Arthas.
_Tu es trop gentil, lui répondit Violine avec son sourire le plus charmeur, c’est grâce à tes talents de comédien que j’ai pus récolter tous cet or.
_Hum, c’est vrai. Je propose donc d’avoir un supplément avant que l’on partage.
_Ah ça non, par contre ! s’indigna la jeune halfeline.
_Mais tu viens de dire que…
_Non ! coupa Violine.

Arthas n’insista pas et il reçu sa moitié du butin. Violine lui embrassa le front et rentra chez elle. Toujours sur son lit, le petit Herbapipe avait les joue en feu, peut-être à cause baiser de son amie. Il repensa à Violine un instant avant de secouer la tête, il leva le bras et sortit de sa manche trois magnifique bagues. Il les avait volé lors de son baisemain, à la fin de sa représentation cet après midi.
Il sourit. En tout cas : il l’avait eu, son supplément.

trop bien fait vraiment moi j aurais j amais trouver tous ca